Travel the world without leaving your chair.
If you speak French here are some French books from Africa for the next part of the "Read Around The World Challenge".
“¡Ah, si fuera un temblor de tierra! Una buena sacudida y no se habla más del caso… Se cuentan los muertos y los vivos y asunto concluido. ¡Mientras que esta porquería de peste! Hasta los que no la tienen parecen llevarla en el corazón”.
Es difícil hacer un comentario de La peste sin hacer una comparación con la gran obra de Camus, El extranjero. La locación es la misma: Orán, ciudad de nacimiento y crianza de Camus. Pero La peste tiene un formato de novela clásica: una ciudad en cuarentena por una epidem... continue
Alors que Raya se débat à Irtaabi pour élever ses trois enfants, son époux Wadou, incarcéré à Bulala, la prison la plus répressive de Wirfaaba, confie à son journal sa solitude, ses blessures et ses doutes sur l'avenir. ŠL'auteure nous introduit au coeur de la politique africaine, et personne ne s'étonnera devant le tableau qu'elle peint de ces dictatures abominables qui ont régenté le continent. Derrière la poésie qui se dégage de cette oeuvre engagée, il y a la réalité révoltante du sort fait au peuple, la volonté de le voir sortir de ses fers et la conviction qu'il porte en lui-même les lum... continue
En 1991, Fatéma Oufkir et ses enfants recouvrent la liberté, après dix-neuf ans d'une détention inique. Leur crime ? Avoir eu pour mari et pour père le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, " suicidé " en 1972 à l'issue d'un putsch manqué contre le roi Hassan Il. Un destin qu'était loin d'imaginer l'adolescente Fatéma, lorsque, dans les années 50, ce jeune Officier, farouche partisan de l'indépendance, la demanda en mariage. Après l'accession au trône de Mohammed V, Fatéma devient l'une des personnalités choyées de la cour, en tant qu'épouse d'un des plus grands serviteurs de l'Eta... continue
Il est le frère de "l'Arabe" tué par un certain Meursault dont le crime est relaté dans un célèbre roman du XXe siècle. Soixante-dix ans après les faits, Haroun redonne un nom et une histoire à Moussa, mort par hasard sur une plage d'Alger trop ensoleillée. Soir après soir, dans un bar d'Oran, le vieillard rumine sa solitude, sa colère contre les hommes qui ont tant besoin d'un dieu, son désarroi face à un pays qui l'a déçu. Etranger parmi les siens, rage et frustration inentamées, il voudrait clore cette histoire et mourir enfin. Hommage en forme de contrepoint rendu à L'Etranger d'Albert Cam... continue